Qui suis- je ? Mon histoire, mon parcours… 7 mars 2024

Alicia Knaubert

Alicia Knaubert

Voilà deux mois que je suis arrivée à Bali, et je me sens plus heureuse que jamais.

À l’aube de mes 32 ans, je sens que j’atteins un niveau de sagesse, d’éveil, d’amour pour moi, de plénitude, que je souhaite à tout le monde.

Je me rapproche chaque jour un peu plus de la femme que j’ai envie d’être et de la vie que j’ai envie de vivre. Celle que je visualise depuis tant d’années.

Mais cela n’a pas toujours été le cas alors laisse-moi me (re)présenter, peut-être que tu ne me connais pas encore vraiment.

Je m’appelle Alicia, j’ai grandi dans une petite ville proche de Strasbourg, dans un contexte que je pourrais qualifier d’ambivalent, à la fois tout ce qu’il y a de plus « normal » sur le papier mais dysfonctionnel à l’intérieur. En tout cas, dans mon ressenti d’enfant.

Je n’ai manqué de rien matériellement, mais je me suis souvent sentie mal-aimée. J’ai vécu des choses pas toujours simples qui m’ont rapidement fait perdre l’insouciance d’une petite fille et m’ont fait me sentir en insécurité. Très rapidement, je me suis mise en mode guerrière. J’avais l’impression que la vie c’était « difficile », qu’il fallait se battre pour s’en sortir.

Évidemment, tout n’était pas à jeter. Il y a aussi eu beaucoup de bon et avec le recul et toutes ces années de travail sur moi, j’ai compris que l’on ne choisit pas nos parents par hasard. Toutes ces épreuves, douleurs, ont fait de moi celle que je suis aujourd’hui et sans cela je ne serais pas là. J’ai évidemment conscience aussi que chacun fait du mieux qu’il peut. Aujourd’hui, je suis en paix et même reconnaissante vis-à-vis de tout ça. Mais pour en arriver là, il m’a fallu du temps.

J’ai longtemps été cette femme d’apparence confiante, la grande blonde, souriante, drôle et folle à qui il arrivait toujours mille et une galère. Mais au fond, je manquais cruellement de confiance en moi et j’avais une colère immense en moi. Je crois que je trouvais cela injuste de « galérer » autant à trouver le bonheur et de voir d’autres gens plus « chanceux ».

Malgré une adolescence assez turbulente, j’ai toujours été plutôt bonne élève. Non pas que j’aimais l’école, au contraire, cela ne m’intéressait pas vraiment, mais j’avais tellement peur de « mal finir » que je travaillais énormément. Je n’avais pas de facilité. Mon mental était préoccupé par mes souffrances.

Après le bac, je suis partie du foyer parental (mes parents venaient de divorcer, mon père venait de refaire sa vie, j’allais avoir une petite sœur et j’avais beaucoup de mal à l’accepter). J’ai pris mon premier petit studio à Strasbourg et là ma nouvelle vie a commencé. Je faisais mes études (licence RH), je sortais beaucoup, je faisais la fête avec mes amies. Impossible pour moi de passer du temps seule à ce moment-là. Je dépensais le peu d’argent que j’avais dans des plaisirs immédiats mais je vivais de manière assez rudimentaire et j’ai commencé à avoir aussi une peur du manque.

Après ma licence, j’ai trouvé mes premiers boulots en tant qu’assistante RH et mes premières mauvaises expériences ont commencé. Je suis tombée sur des responsables pas toujours très sympas, je manquais encore beaucoup de confiance en moi, mais j’étais très impulsive et rebelle. Je me suis même fait virer d’un boulot. Et surtout, je m’ennuyais énormément. Je n’arrivais pas à prendre du plaisir à faire des tâches administratives. La seule chose que j’aimais c’était le contact humain. Je restais parce que je ne savais pas quoi faire d’autre, parce que je pensais que ce n’était pas possible de changer et parce que je me sentais bloquée dans un CDI et par ma peur de manquer.

Du coup, je me suis trouvé une autre passion : le sport. Et je suis tombée dans l’extrême. En fait, pour être sincère, je m’aimais tellement peu que je misais tout sur le fait d’avoir un corps « parfait ». J’allais à la salle 7J/7, je mangeais plus que mes tupp’ préparés en avance. Je suis tombée dans l’anorexie mentale…

À ce moment-là, mes relations amoureuses étaient tout aussi chaotiques que le reste. J’avais deux types de relations : soit je me dirigeais vers des bad boys que je voulais sauver, et je me prenais évidemment des gamelles. Soit je partageais ma vie avec des hommes bien mais j’avais grandi dans un climat de tromperie, de conflit, je ne connaissais pas l’amour sain et je cherchais constamment à revivre ces émotions, cette passion destructrice qui me faisait me sentir vivante.

À cette période de ma vie, j’étais en couple depuis quelques années dans une relation très forte et très passionnelle. Je rêvais d’une seule chose : maison, bébé, chien. Mais il a fini par me quitter et ce fut une rupture si douloureuse pour moi que pour la première fois j’ai décidé de me remettre en question.

J’ai décidé de sortir du statut de victime que j’entretenais depuis toujours et qui quelque part me rassurait car il me permettait d’avoir de l’attention.

Je suis allée chercher de l’aide. J’avais peu de moyens financiers à l’époque. J’ai commencé par les livres. Puis les psys… mais je ne trouvais pas ce que je cherchais. Jusqu’au jour où je suis tombée sur quelqu’un de différent. Un homme âgé de 90 ans, qui a su me permettre de regarder à l’intérieur de moi, à la fois avec beaucoup d’amour mais aussi beaucoup de poigne car j’étais très résistante aha.

Et c’est là que j’ai eu mon plus grand déclic : au vu de la manière dont je me traite, je comprends mieux pourquoi je vis cette vie-là. La seule personne avec qui je vais vivre toute ma

vie c’est moi. J’ai fait un pacte avec moi-même et j’ai décidé qu’à partir de maintenant je me traiterais avec amour et respect.

La première chose que j’ai faite et qui fut révélatrice a été de me pardonner et de pardonner à mes proches. Je me culpabilisais beaucoup de ne pas avoir été la petite fille parfaite. D’avoir été souvent en colère. Je me suis pardonnée. Je suis allée soigner cette petite fille en souffrance. Je suis allée reconnaître sa souffrance. Et ça a tout changé.

Petit à petit, j’ai commencé à changer mes croyances, sur moi, sur le monde, sur ma vie pro/amoureuse/perso…

Et l’impact fut énorme.

Ma relation à mon corps a changé, j’ai repris soin de ma santé et je suis sortie de tous mes complexes.

Professionnellement, j’ai compris que mes valeurs étaient la liberté, l’humain, l’échange, le partage, l’ambition… j’avais envie de faire quelque chose qui me ressemblait plus. Je suis partie dans le commerce. j’ai osé démissionner malgré mes peurs et je suis allée travailler chez Culligan, une entreprise où je faisais du porte à porte pour vendre mes produits. Ce fut un travail extrêmement dur mais le plus formateur de ma vie. Cela m’a demandé de faire face à ma grande blessure de rejet, d’être dans un dépassement de soi, de gérer les fluctuations émotionnelles, d’argent … J’ai beaucoup grandi dans cette entreprise.

Puis au niveau de l’amour, j’ai connu ma première relation saine qui a duré plus de 4 ans. J’ai appris ce qu’était le sens de la famille, j’ai appris à faire la paix avec les hommes, à aimer la vie à deux. J’ai vécu dans la gentillesse, le respect, la bienveillance.

Évidemment rien n’était parfait, je vivais toujours des « épreuves » : la maladie, les doutes…

Mais j’avais repris mon pouvoir et je m’étais révélée.

J’étais devenue moi-même, libre, authentique.

Et ce qui m’avait permis ça, il n’y a aucun doute : L’AMOUR DE SOI.

L’amour de soi, qui avec un effet boule de neige change aussi mes pensées, qui sont créatrices.

Après quelques années dans cette vie-là, mon âme fut appelée par autre chose, par quelque chose de plus grand. Je voulais à mon tour aider, contribuer : J’ai commencé à me former (PNL, hypnose, reiki…) et petit à petit j’ai lancé mon entreprise.

Je partais de zéro, genre vraiment. Avec le soutien de mes proches mais aussi le jugement de ceux qui ne comprenaient pas ou qui avaient peur pour moi. Mais j’étais sûre de moi : j’étais là sur cette terre pour ça et j’allais aller loin. Plus rien ne pouvait m’arrêter.

J’avais compris une chose, lorsqu’on a de l’audace, du courage et de la persévérance : absolument tout est possible. Évidemment, développer mon entreprise ne fut pas une mince affaire.

L’entrepreneuriat a réveillé beaucoup de choses chez moi, à commencer par mon impatience aha. Puis au début, comme beaucoup : la peur de ne pas être à la hauteur, d’être jugé, rejeté, de ne pas être légitime, d’être une imposture…

J’ai voulu faire seule, me débrouiller seule, mais je me suis vite rendu compte que j’étais limitée par des blocages inconscients.

J’ai fait mon premier investissement sur moi. 1000 € à l’époque c’était énorme pour moi. Mais ce fut un véritable accélérateur. Je me suis réellement connectée à mon grand pourquoi, à ma mission de vie et tout a commencé à décoller.

J’ai compris à ce moment-là, qu’investir sur soi est un véritable game changer, accélérateur de temps et de finance. Je n’ai jamais cessé depuis. Dès que je bloque à un pallier, ou que je me sens impuissante dans une situation, je choisis une coach/mentor qui m’inspire, qui est là où j’aimerais aller.

Je pense que quand on est accompagnante dans le bien-être c’est un non-négociable d’être capable de regarder constamment à l’intérieur de soi pour lever les blocages, grandir en tant qu’humain et par conséquent dans notre business. Les deux sont liés.

Je suis très heureuse d’exercer un métier passion, d’avoir des clientes incroyables, de diversifier mes activités, de pouvoir être libre d’être moi, d’écouter mon intuition, de créer au gré de ce que mon cœur me souffle … aujourd’hui je vis une vie prospère et abondante et je t’aide à en faire autant.

Jour après jour je construis mes rêves, Impacter le monde à grande échelle, Permettre aux femmes de libérer leur puissance, de se réaliser, Créer une vie alignée à mes valeurs, …

Et j’ai à cœur de vous amener à en faire autant. Je suis experte en amour de soi, mindset et manifestation. Ce qui vous permet, peu importe où vous vous trouvez, de transformer votre vie dans tous les domaines.

Aujourd’hui vous avez plusieurs moyens de travailler avec moi :

– Savage reborn (1 seule place pour un démarrage en mars) 1 accompagnement individuel sur 10 mois pour les femmes qui souhaitent changer leur vie en profondeur et atteindre un niveau de développement personnel et dans leur business à la hauteur de ce qu’elles sont vraiment. C’est un accompagnement puissant car le fait qu’on travaille ensemble sur du long terme va vous permettre de réellement ancrer les changements. La répétition est une des clés de la réussite. Cet accompagnement coûte 6000 € et seules les plus audacieuses et motivées seront qu’il n’y a rien de plus beau que de s’offrir un tel engagement. C’est un accompagnement VIP et puissant +++. Contacte moi en MP pour y accéder. Je prends très peu de personne à l’année car je m’y consacre pleinement.

La savage women academy : mon accompagnement principal : 3 ou 6 mois d’accompagnement : contenant à la fois une plateforme de formation très complète, du coaching individuel, un groupe de soutien : c’est hyper complet ça vaut vraiment le coup ! Si tu es entrepreneure ou que tu souhaites level up c’est là où tu dois nous rejoindre.

Savage fondation : un accompagnement de groupe qui démarre en avril à un prix très accessible pour toutes accompagnantes du bien-être qui désirent maîtriser les bases d’un business en ligne à succès ! C’est ce qui va vous permettre de vous lancer et d’attirer vos premiers clients. Une superbe opporunité a saisir si tu es dans le flou et que tu n’as toujours pas de clients.

Savage manifest : une formation en ligne pour découvrir mes 10 routines de manifestations qui me permettent au quotidien de réaliser tous mes rêves (59 € seulement et pourtant pleine de ressources)

Je pourrais rajouter une offre pour créer l’urgence mais la seule urgence : c’est le temps qui passe chaque jour et que tu es entrain de perdre … et au fond tu le sais déjà. Le moment parfait c’est maintenant, c’est quand tu es appelé. C’est comme ça que l’histoire commence.

J’espère que ce post t’aura permis de mieux me connaître et pourquoi pas qu’on aille plus loin toi et moi,

Je t’embrasse.

Avec tout mon amour, 

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